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From Buddha-Nature

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A list of values that have the property "Drel" assigned.

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List of results

  • Comme le regard de leur sagesse intérieure Sur l’essence des choses et leur diversité est pur, L’assemblée des sages qui ne régressent plus Possède d’insurpassables qualités.  +
  • Comme leur vision de sagesse est pure Et [proche de] l’insurpassable sagesse des bouddhas, Les êtres sublimes qui ne régressent plus Sont des refuges pour tous les êtres vivants.  +
  • Comme l’ainsité se manifeste différemment Chez les êtres ordinaires, les êtres sublimes Et les parfaits bouddhas, Celui qui voit le réel Montre aux êtres leur essence de Vainqueurs.  +
  • Comme l’esprit est par nature luminosité, Comme l’esprit est par nature luminosité, ils voient</br>que les affections n’ont pas d’essence,</br>Si bien qu’ils réalisent correctement la paix,</br>l’inexistence ultime du soi de tous les êtres.</br>À ceux qui voient la présence en tous de la bouddhéité parfaite</br>car ils ont une intelligence libre de voiles ;</br>À ceux dont la vision de sagesse a pour objet</br>la pureté et l’infinité des êtres, je rends hommage.et l’infinité des êtres, je rends hommage.  +
  • Comme l’écho, la parole des Vainqueurs se Comme l’écho, la parole des Vainqueurs se passe de mots.</br>Semblable à l’espace, leur corps est omniprésent,</br>dépourvu de forme et permanent.</br>Pareil à la terre, le niveau de bouddha est toujours</br>Le fondement de tous les remèdes favorisant</br>les qualités pures des êtres.s favorisant les qualités pures des êtres.  +
  • Comme on n’a jamais vu d’activité S’accomplir sans le moindre effort, Neuf exemples ont été enseignés Pour trancher les doutes des disciples.  +
  • Comme par nature elle n’a ni commencement, Ni milieu, ni fin, elle est incomposée. Douée de la paix du corps absolu, On la dit spontanée.  +
  • Comme ses qualités égalent le sans-égal, Qu’elle prodigue la saveur du vrai Dharma Et qu’elle est libre de l’enveloppe [des voiles] On compare [la bouddhéité] à un bouddha, au miel et à une graine.  +
  • Comme si elles transperçaient des armures, Abattaient des remparts et rasaient des forêts. Les forces des Sages sont comparables à des vajras, Parce qu’elles sont sûres, essentielles, stables et indestructibles.  +
  • Comme un bouddha dans un lotus flétri, le miel au milieu des abeilles, Le grain dans la balle, l’or dans les immondices, Un trésor enterré, le germe [d’un grand arbre né] d’un petit fruit, Une statue de bouddha dans des haillons,  +
  • Comme un lac aux eaux limpides qui peu à peu se couvrent de lotus ; Comme la pleine lune qui s’échappe de la gueule de Rāhu ; Comme le soleil qui se dégage de la nue des affections [L’Éveil] rayonne de lumières en raison de ses qualités immaculées.  +
  • Comme, ayant renoncé à son corps, à sa vie Et à ses biens, il a embrassé le vrai Dharma ; Comme, pour le bien de tous les êtres, il ira Jusqu’au terme de son vœu originel ;  +
  • Comparable à un bouddha, au miel, au grain, De même qu’à l’or, à un trésor, à un grand arbre, Une précieuse image, un monarque universel Et une statue en or,  +
  • Considérez les activités erronées du mental Comme l’élément vent. Quant à la nature [De l’esprit], elle n’a pas de fondement Et ne repose sur rien, comme l’élément espace.  +
  • C’est la foi qui permet de réaliser L’absolu des [bouddhas] nés d’eux-mêmes. Qui n’a pas d’yeux ne peut voir L’éclat de l’orbe solaire.  +
  • Dans la base immaculée, les connaissances extraordinaires, La sagesse primordiale et l’absence de souillures sont indissociables de l’ainsité. Voilà autant de qualités qui correspondent à celles d’une lampe – La lumière, la chaleur et les couleurs.  +
  • Dans le cercle sans commencement des mortsDans le cercle sans commencement des morts et des renaissances,</br>les êtres suivent cinq voies</br>Mais, de même qu’il n’y a pas de bonnes odeurs dans les excréments,</br>il n’y a jamais de bonheur dans les cinq destinées.</br>Cette souffrance permanente née de la rencontre</br>avec les armes, le feu, le sel et d’autres supplices encore</br>S’apaise quand, des nuées de la compassion, tombe</br>une abondante pluie de vrai Dharma. tombe une abondante pluie de vrai Dharma.  +
  • Dans le monde des dieux, le son des cymbales dont la beauté se double D’un charme exquis augmente l’agitation mentale habituelle. La parole des tathāgatas, compassion incarnée, incite À réfléchir et à méditer jusqu’au recueillement profond.  +
  • Dans le monde des dieux, le son puissant du tambour Ne tombe pas jusqu’aux oreilles des terriens. Le tambour de la voix d’un bouddha résonne Jusqu’aux mondes souterrains du saṃsāra.  +
  • Dans le monde des dieux, les cymbales sonnent Par millions pour exacerber les flammes du désir. Les incarnations de la compassion n’ont qu’une seule voix Qui fait tout pour éteindre à jamais les flammes de la souffrance.  +
  • Dans un lotus aux couleurs défraîchies se trouve Un tathāgata rayonnant de mille marques. Un homme qui a purifié l’œil divin le voit Et l’extrait de la corolle fanée du lotus.  +
  • Dans un lotus fané, parmi les abeilles, Dans la balle du grain, dans les immondices, dans la terre, Sous la peau du fruit, sous les guenilles, dans la matrice D’une pauvresse et dans un moule en glaise,  +
  • De l’ainsité avec et sans souillures, Des qualités immaculées des bouddhas et de leurs activités de Vainqueurs Émergent les Trois Joyaux de vertu, L’objet même de ceux qui voient la vérité absolue.  +
  • De l’eau des actes et des affections Émergent les agrégats, les domaines et les sources Qui apparaissent et disparaissent comme [Les mondes] qui naissent et se détruisent.  +
  • De même que dans la ville des dieux, le soDe même que dans la ville des dieux, le son du tambour</br>leur insuffle le don de l’intrépidité</br>Lorsque, sous l’effet de leurs affections, les dieux se jettent</br>dans la mêlée pour vaincre les antidieux ; et de même, encore,</br>que le tambour met fin à leurs jeux,</br>De même, dans notre monde, la concentration</br>du Sans-Forme et les autres vertus concourent à la cause</br>De l’expression de la voie suprême, laquelle écrase les affections</br>qui torturent les êtres tout en apaisant leurs souffrances. êtres tout en apaisant leurs souffrances.  +
  • De même que le Joyau magique procure Sans effort ni pensée les richesses désirées, Le Sage restera dans le monde tant que celui-ci durera, Pour le bien des autres, sans effort et à proportion de leurs mérites.  +
  • De même que le Joyau magique, Exauce chacun de tous les désirs De ceux qui se trouvent dans sa sphère Instantanément et sans y penser,  +
  • De même que le grain de riz Est recouvert par la balle, La vision de la quintessence est bloquée Par la coquille de l’ignorance.  +
  • De même que le lotus qui naît dans l’eau N’est pas souillé par l’eau, De même naissent-ils dans le monde Sans que les choses du monde les souillent.  +
  • De même que le son de l’écho, Qui jaillit de la perception des êtres N’a pas de pensées, n’est pas fabriqué Et ne se tient pas plus dedans que dehors,  +
  • De même que le son du tambour Des dieux émDe même que le son du tambour</br>Des dieux émane de leurs actes,</br>De même, les enseignements que le Sage</br>A prodigués au monde émanent des actes de chacun. (IV, 34)</br></br></br>De même que sans effort, sans lieu, sans corps</br>Et sans esprit, le son du tambour établit la paix,</br>De même, sans effort, sans lieu, sans corps</br>Et sans esprit, ces enseignements établissent la paix.it, ces enseignements établissent la paix.  +
  • De même que les abeilles Excitées jouent du dard, La colère en surgissant Arrache le cœur.  +
  • De même que les aveugles de naissance ne voient pas les formes, Les êtres puérils ne l’ont jamais vue. Les êtres sublimes eux-mêmes Sont pareils à des nourrissons qui entrevoient la forme du soleil Depuis la chambre où ils viennent de naître.  +
  • De même que les grains de riz, de blé noirDe même que les grains de riz, de blé noir ou d’orge</br>encore dans la balle, et avec leurs barbes,</br>Ne peuvent rien donner de bon à manger</br>s’ils ne sont pas bien préparés,</br>Le seigneur des qualités, présent en chaque être,</br>emprisonné toutefois dans la gangue des affections,</br>Ne peut offrir la saveur des plaisirs du Dharma à des êtres</br>tenaillés par la faim des affections.tres tenaillés par la faim des affections.  +
  • De même que les immondices sont répugnantes, Immonde est l’émergence [des poisons], Car elle est la cause dont dépend le désir De ceux qui lui sont attachés.  +
  • De même que les malentendants Ne perçoivenDe même que les malentendants</br>Ne perçoivent pas les sons subtils</br>Et que l’oreille divine elle-même</br>N’entend pas tous les sons, (IV, 42)</br></br></br>De même, les enseignements les plus subtils</br>Relèvent de la sagesse primordiale, fine aussi,</br>Mais ils atteindront seulement les oreilles</br>D’une poignée de sages libres d’affections.’une poignée de sages libres d’affections.  +
  • De même que les richesses bien cachées Sont d’introuvables trésors ignorés, La [sagesse] spontanée des êtres est voilée Par la terre des imprégnations de l’ignorance.  +
  • De même que l’espace qui a pour essence De ne pas penser se répand en tout lieu, De même, la nature de l’esprit est omniprésente Comme l’immensité immaculée.  +
  • De même que l’espace, qui n’est pas une cause, Est cause de la vision des formes Et de la perception des sons, des odeurs, Des saveurs, des tangibles et des phénomènes [mentaux],  +
  • De même que sur le sol pur en lapis-lazuli Apparaît le reflet du seigneur des dieux, Sur le sol pur de l’esprit des êtres, Apparaît le reflet du Seigneur des Sages.  +
  • De même que sur un fond coloré La pierre précieuse apparaît telle qu’elle n’est pas, De même, du fait de la diversité des êtres, L’Omniprésent est perçu tel qu’il n’est pas.  +
  • De même que tous les mondes Naissent et meurent dans l’espace, De même les facultés des sens naissent Et meurent dans l’immensité inconditionnée.  +
  • De même que tout ce qui naît de la terre Prend appui sur la terre, qui n’a pas de pensées, Pour croître, se renforcer et s’épanouir,  +
  • De même que, du fait de sa subtilité, Rien ne peut souiller l’espace omniprésent, Rien ne peut souiller cette présence En tous et en chaque être.  +
  • De même que, le monde prenant le chemin de la vertu, Les nuages nés du vent se répandent en pluies, De même, pour accroître les vertus d’un monde où souffle le vent de l’amour, Des nuages de la bouddhéité tombe la pluie du vrai Dharma.  +
  • De même que, pour qui le désire en ce monde, Il est difficile de trouver le bon Joyau dans l’océan ou sous la terre, Il faut de même savoir que, pour l’infortuné dont l’esprit est pris par les affections, La vision du Bouddha est chose difficile.  +
  • De même que, sans jamais quitter son palaiDe même que, sans jamais quitter son palais,</br>Brahma se manifeste dans le monde du Désir</br>À la vue des dieux et qu’à cette vision, ces derniers</br>se détournent des objets [de plaisir],</br>De même, sans quitter le corps absolu, le Bien-Allé s’introduit</br>dans toutes les sphères du monde</br>Où les êtres fortunés le voient, et cette vision leur permet</br>d’éliminer toutes leurs souillures à jamais.éliminer toutes leurs souillures à jamais.  +
  • De même que, sans quitter son palais, Brahma manifeste des apparences De lui-même dans tous les lieux divins Sans fournir le moindre effort,  +
  • De même que, sans y penser, En émettant soudain sa lumière, Le soleil fait s’ouvrir les lotus Et mûrir d’autres [plantes],  +
  • De même qu’en automne on voit la forme de la lune Dans un ciel sans nuages comme dans les eaux bleues d’un lac, De même, les enfants des Vainqueurs verront la forme De l’Omniprésent dans le maṇḍala de la parfaite bouddhéité.  +