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From Buddha-Nature

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Literally, "self-realised buddha." Individuals who cultivate insight into dependent arising and thereby attain liberation from samsara by themselves, during periods when there is no buddha and his teachings are no longer available.  +
The ten levels of realization of a bodhisattva, from the initial realisation of emptiness to the moment before the attainment of perfect buddhahood (often called the eleventh bhumi). See also ''path of seeing'' and ''path of cultivation''.  +
The knowledge or wisdom exclusive to noble beings or ''āryas''. Also termed "pristine wisdom," "transcendent awareness," and the like.  +
also three characteristics (''trilakṣaṇa, mtshan nyid gsum'').</br>The model of reality according to the Yogācāra tradition, consisting of the imputed, the dependent, and the perfected. The imputed (''parikalpita, kun brtags'') is the erroneously imputed existence of apprehended objects and the apprehending mind as two separate entities; the dependent (''paratantra, gzhan dbang'') refers to all appearances or phenomena arising in dependence on causes and conditions; and the perfected (''pariniṣpanna, yongs grub'') refers to the realisation of the true nature of appearances, that is, the dependent nature freed of imputed duality.  +
au nombre de cinq, six ou huit : les cinq consciences sensorielles-visuelle, auditive, olfactive, gustative et tactile; auxquelles s’ajoute parfois la «conscience mentale» (yid kyi rnam par shes pa, manovijñana), dont les objets sont les informations fournies par les consciences sensorielles; les textes du Cittamatra et les tantras considèrent en plus la «conscience liée aux émotions négatives» (nyon yid, manas), qui a pour objet la huitième conscience qu’elle prend pour un soi, et la conscience fondamentale (kun gzhi’i rnam shes, alayavijñana), qui intègre les six premières consciences sous l’aspect des semences dont elle forme la continuité.  +
les êtres « ordinaires » (so so skye bo) qui, en ne recherchant que leur bien personnel, engendrent leur propre malheur et celui des autres, par opposition aux êtres «sublimes».  +
« Petit Véhicule » de ceux qui n’aspirent qu’à s’extraire du samsâra en tant que contraire absolu du nirvâna. « Fondamental » parce qu’il forme l’assise et le point de départ de toutes les pratiques.  +
litt. «silencieux», ou «qu'i impose le silence», ascète qui contrôle son corps, sa parole et son esprit ; nom des bouddhas, ou du « principe de pureté » des six mondes d’existence.  +
statue du bouddha Shakyamuni âgé de douze ans qui se trouve au temple du Jokhang, à Lhassa.  +
l’une des dix-huit sphères infernales où les êtres s’identifient à une porte, une colonne, un foyer, une corde ou un autre objet de ce genre, et souffrent de l’usage qui est fait de ces objets. Cf. CGP, p. 110-113 et POL, p. 97-98.  +
appellation du bouddha qui peut être interprétée de différentes façons. En bref, « aller» vaut pour « réaliser » et « ainsi » pour « ainsité » : est bouddha, parfaitement éveillé, celui qui a réalisé l’ainsité, ou l’état naturel de toutes choses.  +
quatre comportements qu’un maître (bodhisattva) adopte pour «attirer» les êtres afin de les aider : 1 ) générosité matérielle ; 2) paroles douces ; 3) enseignements adaptés ; et 4) comportement conforme à ce qu’il enseigne.  +
«protubérance crânienne» invisible dans sa totalité; l’une des trente-deux marques majeures du Bouddha.  +
refuge suprême des bouddhistes : «Extérieurement, le Bouddha (ou l’Éveil), le Dharma (les enseignements) et la Sangha (la Communauté) ; intérieurement, le maître (bla ma, guru), le yidam (déité personnelle) et la dakini ; secrètement, le corps absolu, le corps de jouissance et le corps de manifestation. » Cf. CGP, p. 225.  +
position assise considérée comme idéale pour rendre l’esprit clair et stable: 1) les jambes croisées en position de lotus; 2) les mains posées l’une sur l’autre au-dessous du nombril dans la moudra de la méditation ; 3) la colonne vertébrale droite; 4) le menton légèrement rentré; 5) les épaules écartées dans la «position des ailes d’un vautour» (au sol), c’està-dire les bras légèrement décollés de la poitrine ; 6) le regard posé dans la direction du bout du nez ; et 7) la langue touchant légèrement le palais.  +
«recueillement (profond) », voire « extase (méditative) », état de l’esprit qui demeure continûment et sans distraction posé sur son objet. A.T. : concentration.  +
six lieux de renaissance possible dans le samsâra ; six destinées ou formes d’existence correspondant aux six émotions négatives ; six formes d ’êtres qui, en fonction de leur karma, s’identifient à l’une ou l’autre de ces formes d’existence. A.T. : six destinées.  +
les deux lieux de renaissance supérieurs, à savoir les mondes divin et humain, et les trois inférieurs qui comprennent le monde animal, celui des prêtas et celui des enfers. Il est plus courant de parler des «six mondes», mais ici les antidieux (asuras) sont considérés par certains comme faisant partie des dieux et par d’autres comme appartenant au groupe des nagas, autrement dit des animaux.  +
les formes visuelles, les sons, les odeurs, les saveurs et les objets tangibles.  +
trois collections de textes où se répartissent les enseignements du Bouddha : le Vinaya, les Soûtras et l’Abhidharma.  +