Property:Gloss-def

From Buddha-Nature

This is a property of type Text.

Showing 20 pages using this property.
T
litt. «juste cela». Le «ça-seulement » des choses désigne leur état naturel (tib. gnas lugs), autrement dit leur «vacuité» (stong pa nyid, sunyata). L’expression est souvent abrégée en de nyid, «cela même», qui correspond au sanskrit tattva, et que l’on peut traduire par « (le) réel».  +
le temps qu’il faut pour accomplir un acte donné, par opposition à dus mtha’i skad cig ma, instant très bref, valant un 64e de claquement de doigts.  +
désignent le monde des animaux, celui des prêtas (ou esprits faméliques) et celui des enfers.  +
karma qui détermine la renaissance dans l’un ou l’autre monde du samsâra.  +
l’entraînement à la discipline proprement dite, la pratique de la concentration et l’exercice de la connaissance. A.T. : trois entraînements.  +
Mañjushri, Vajrapani et Avalokita qui, dans les tantras d’Activité (bya rgyud, caryatantra), sont les souverains des familles du Bouddha, du Vajra et du Lotus, et représentent plus généralement le corps, l’esprit et la parole de tous les Éveillés.  +
les «accumulations» ou « provisions » de mérites et de sagesse. La première se crée avec les actes positifs ou vertueux. Une fois «parfaite», cette accumulation a pour résultat les deux « corps formels ». Quant à la sagesse, elle «s’accumule» dès lors que les mérites, ou actes méritoires, ne sont pas pollués par des concepts dualistes et qu’ils incluent l’esprit d’Éveil.  +
deux étapes de la méditation de la phase de création. Dans la première, on «approche» la déité en récitant son mantra ; dans la seconde, on est assez familiarisé avec elle pour s’identifier à elle, ou l’«accomplir».  +
1) terme général désignant un être malfaisant du monde des prêtas ou esprits faméliques; 2) espèce de démon mangeur de chair et buveur de sang.  +
gain et perte, éloge et blâme, renom et mépris, plaisir et douleur.  +
arhat qui s’est libéré du samsâra en étudiant la production interdépendante sans l’aide d’un maître, réalisant ainsi l’inexistence du soi de l’individu et une partie de l’inexistence du soi des choses.  +
selon la définition d’Asanga : « Focalisation de l’esprit sur l’objet d’examen ayant pour fonction de fournir une base à la sagesse. » Les traductions vont de « recueillement » à « extase » en passant par « absorption méditative » (q.v), etc.  +
dix-huit qualités propres aux bouddhas. Six qualités sont liées au comportement : 1) comportement du corps sans erreur, 2) parole sans dissonance, 3) mémoire infaillible, 4) esprit qui ne se départit jamais de l’égalité méditative, 5) absence de différenciation et 6) équanimité qui ne résulte jamais de l’absence d’examen. Six autres sont liées à la compréhension : 7) aspiration, 8) courage, 9) mémoire, 10) samadhi, 11) connaissance et 12) méthode de complète libération sans faille. Trois sont liées à l’activité : 13) tous les actes du corps, 14) de la parole et 15) de l’esprit des bouddhas obéissent à la sagesse. Trois sont liées à la sagesse: ils connaissent tout ce qui 16) a eu lieu dans le passé, 17) aura lieu dans le futur et 18) a lieu maintenant.  +
contrée bénie par les dakinis, où naquit Padmasambhava, aussi appelé Gourou Rinpoché, et que certains pensent être l’actuelle vallée de la Swat, au Pakistan.  +
Lit. « dimension des choses », synonyme de vacuité.  +
1) bodhisattva homme ou femme; 2) façon dont le bouddha ou un maître spirituel (lors d’initiations) s’adresse à ses disciples hommes et femmes, reconnaissant ainsi que chacun d’eux possède la nature de bouddha, autrement dit, appartient à la famille des bouddhas.  +
juge et seigneur des morts, symbole du pouvoir des actes ou du karma.  +
apprentissage qui, dans le contexte de l’esprit d’Éveil, vise à renverser l’habitude de ne considérer que son intérêt personnel pour donner la plus grande importance au bien-être et au bonheur des autres.  +