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T
1) terme général désignant un être malfaisant du monde des prêtas ou esprits faméliques; 2) espèce de démon mangeur de chair et buveur de sang.  +
gain et perte, éloge et blâme, renom et mépris, plaisir et douleur.  +
arhat qui s’est libéré du samsâra en étudiant la production interdépendante sans l’aide d’un maître, réalisant ainsi l’inexistence du soi de l’individu et une partie de l’inexistence du soi des choses.  +
selon la définition d’Asanga : « Focalisation de l’esprit sur l’objet d’examen ayant pour fonction de fournir une base à la sagesse. » Les traductions vont de « recueillement » à « extase » en passant par « absorption méditative » (q.v), etc.  +
dix-huit qualités propres aux bouddhas. Six qualités sont liées au comportement : 1) comportement du corps sans erreur, 2) parole sans dissonance, 3) mémoire infaillible, 4) esprit qui ne se départit jamais de l’égalité méditative, 5) absence de différenciation et 6) équanimité qui ne résulte jamais de l’absence d’examen. Six autres sont liées à la compréhension : 7) aspiration, 8) courage, 9) mémoire, 10) samadhi, 11) connaissance et 12) méthode de complète libération sans faille. Trois sont liées à l’activité : 13) tous les actes du corps, 14) de la parole et 15) de l’esprit des bouddhas obéissent à la sagesse. Trois sont liées à la sagesse: ils connaissent tout ce qui 16) a eu lieu dans le passé, 17) aura lieu dans le futur et 18) a lieu maintenant.  +
contrée bénie par les dakinis, où naquit Padmasambhava, aussi appelé Gourou Rinpoché, et que certains pensent être l’actuelle vallée de la Swat, au Pakistan.  +
Lit. « dimension des choses », synonyme de vacuité.  +
1) bodhisattva homme ou femme; 2) façon dont le bouddha ou un maître spirituel (lors d’initiations) s’adresse à ses disciples hommes et femmes, reconnaissant ainsi que chacun d’eux possède la nature de bouddha, autrement dit, appartient à la famille des bouddhas.  +
juge et seigneur des morts, symbole du pouvoir des actes ou du karma.  +
apprentissage qui, dans le contexte de l’esprit d’Éveil, vise à renverser l’habitude de ne considérer que son intérêt personnel pour donner la plus grande importance au bien-être et au bonheur des autres.  +
au niveau individuel, cinq ensembles formant la base de ce que l’on prend pour un « moi » : formes (corps et phénomènes d’ordre physique), sensations, représentations, formations karmiques (ou facteurs de composition) et consciences. On les qualifie de «pollués» ou «impurs» parce qu’ils résultent du karma et des émotions négatives.  +
le corps de jouissance et le corps de manifestation de la bouddhéité. Une fois atteint le terme de l’accumulation de mérites, la bouddhéité se manifeste aux êtres qui en ont le karma. A ceux qui se sont libérés de leurs voiles mentaux, elle apparaît sous l’aspect du corps de jouissance, et aux autres, sous l’aspect du corps de manifestation.  +
la préparation, qui consiste à inclure tout acte positif dans les moyens habiles en cultivant 1 esprit d’Éveil ; la partie principale, qui consiste à se rappeler, pendant que l’on pratique ou agit, que les trois pôles de l’acte sont vides ; et enfin, la conclusion, qui est la dédicace des mérites au grand Éveil de tous les êtres. Cf. CGP, p. 44.  +
tuer sa mère, son père ou un arhat, diviser la Sangha et répandre le sang d’un bouddha avec une mauvaise intention. Celui qui a commis l’un de ces crimes renaît dans l’enfer des Tourments insurpassables immédiatement après sa mort sans passer par l’état intermédiaire du bardo.  +
Dix qualités de la sagesse des parfaits bouddhas. Cette sagesse a le pouvoir: 1) de toujours distinguer ce qui est fondé de ce qui ne l’est pas ; 2) de connaître le résultat des actes, 3) les différentes aspirations des êtres, 4) les différentes natures des êtres, 5) leurs différentes facultés, 6) toutes les voies en sachant où elles conduisent, 7) les concentrations, les libérations, les samadhis, etc., 8) les existences passées, 9) la mort des êtres et leur renaissance, et, enfin, 10) les moyens de parvenir à l’épuisement des souillures.  +
les chakras du front, de la gorge et du coeur, qui représentent les « trois portes »-du corps, de la parole et de l’esprit.  +
méditation, ou état qui en résulte, formant l’assise de toutes les concentrations. L’esprit, apaisé (zhi) de toute distraction, demeure (gnas) inébranlable dans la concentration choisie.  +
être ayant atteint la voie de la vision (mthong lam), laquelle correspond, dans le Grand Véhicule, à la première terre des bodhisattvas où l’on perçoit la nature vide du moi et des choses.  +
l’état le plus élevé des trois mondes du samsâra.  +
sixième groupe de qualités et d’exercices spirituels que les textes appellent les «trente-sept auxiliaires de l’Éveil » : attentionmémoire, discernement, persévérance, joie, souplesse de l’esprit parfaitement entraîné, concentration et impartialité.  +